Je suis effarée par certains posts semés ici ou là. Je me fâche, je me lâche et je ne mâche plus mes mots…
Il y en a certains sur la toile – que j’imagine bien au chaud, les fesses calées dans leur fauteuil – qui sont bien plus prompts à porter des jugements de valeur taillés à l’emporte pièce d’idées aussi petites que préconçues sur des personnes qui n’ont d’autre choix que la rue, le squat, voire le carré des indigents… que de faire appel à leur mémoire ou à défaut notre histoire.
Il serait grand temps d’ouvrir les yeux – je n’ose imaginer le cœur – pour VOIR et COMPRENDRE ce qu’est la rue aujourd’hui…