Dimanche dernier, le rendez-vous Food Street Popote est revenu à la Halle Pajol. A quelques dizaines de mètres, sous les tentes ou pour certains sans rien pour se couvrir, le désespoir et la faim au ventre, 200 migrants. Uniquement soutenus par des citoyens et des associations non subventionnées dont Entraides-Citoyennes. Deux mondes diamétralement opposés ont cohabité.
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