Sacs de couchage, couvertures, blousons chauds…
Notre association ne fonctionne que grâce aux dons de biens et aux dons d’argent de particuliers et d’entreprises.
Grâce à vous !
Sacs de couchage, couvertures, blousons chauds…
Notre association ne fonctionne que grâce aux dons de biens et aux dons d’argent de particuliers et d’entreprises.
Grâce à vous !
Du 8 au 15 janvier, grâce au don de commerçants, Entraides-Citoyennes vous propose de choisir un jouet neuf contre le don d’un duvet (neuf ou très bon état) ou un don d’argent.
Il y en a pour tous les goûts, de 6 mois à 12 ans.
Les jouets sont :
La bénévole qui vous accueillera sera à même de vous indiquer le prix moyen des jouets vendus dans le commerce.
Merci d’offrir un don (duvet ou chèque) d’une valeur d’au moins 30% de la valeur indiquée.
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Face à l’afflux de réfugiés dans les Alpes-Maritimes, et plus particulièrement dans la vallée de la Roya, l’État n’a réagi qu’en renforçant la présence de militaires et de forces de police, renvoyant notamment, au mépris de la loi, les mineurs en Italie, au lieu de les protéger.
Un certain nombre de citoyens solidaires, comme Cédric Herrou et Pierre-Alain Manonni, doivent comparaître pour le premier à une date non encore définie et pour le second le 23 novembre à 13 h devant le Tribunal de grande instance de NICE au motif d’« avoir facilité l’entrée, la circulation et le séjour irrégulier » (Cf. article 622 du CESEDA, pouvant entraîner jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 30.000 € d’amende) de plusieurs mineurs, femmes et hommes, venus demander l’asile en Europe.
Les vendredi 7 et samedi 8 octobre prochains Entraides-Citoyennes participera à la 4ème édition de la la grande opération solidaire carte microDON Paris dans un supermarché Franprix. L’événement réalisé avec le soutien de la Mairie de Paris et son réseau des Maisons des Associations, et en partenariat avec le Crédit Municipal de Paris et la Fondation Macif offrira la possibilité aux parisiens de venir à la rencontre de leurs associations de quartiers et de les soutenir en faisant un don en caisse.
L’association Entraides-Citoyennes organise régulièrement des événements en soutien à ses actions d’aide inconditionnelle aux sans-abris, sdf et exclus : les rendez-vous Solli’Cité : Solli’ comme Solliciter, Solidarité. Cité comme ConCitoyens, Cité.
Nous vous attendons le vendredi 23 septembre au Grand Bé pour une soirée solidaire.
Vous pourrez y déguster une paëlla et un dessert « maisons » accompagnés d‘un quart de vin : la brasserie reversera 5 € par menu à Entraides-Citoyennes qui pourra acheter des duvets, des produits d’hygiène et des denrées alimentaires distribués lors de nos rencontres hebdomadaires avec les plus démunis.
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Tous les soirs, depuis de nombreuses années, Roland, un homme en situation de précarité, s’assied le soir sur l’appui de fenêtre d’un bâtiment commercial de la rue d’Hauteville (Paris 10e). Il s’y pose avec son chariot pour y tenir ce qu’il nomme « l’agora » (lieu de rassemblement social dans la Grèce antique).
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Il y a presque un an jour pour jour (le 24 juillet 2016), le village d’insertion des roms de Saint-Ouen était expulsé. Le 26 juillet, ils se retrouvent de nouveau sur les trottoirs après avoir été mis à l’abri dans un immeuble réquisitionné par le DAL Paris début septembre 2015…
La semaine dernière, Rémi Féraud, maire du 10e arrondissement, exigeait « qu’une opération de mise à l’abri soit mise en œuvre dans les plus brefs délais par les services de l’État, dont c’est la responsabilité. Comme elle l’a toujours fait, la Ville de Paris apportera sa contribution à une telle opération. »
Le 18 mai 2015, Rémi Féraud, le maire du Xe, des élus socialistes et le conseil d’arrondissement ont adopté un vœu demandant à l’État l’évacuation du campement de migrants du boulevard de la Chapelle AVEC l’hébergement de tout ses habitants…
Un an après, tout le monde s’est fait une idée sur l’hébergement des migrants évacués à la demande du maire : des hébergements dans des centres – comme La Boulangerie (voir plus bas) – dont bien des sans-abris ne veulent même plus entendre parler lorsque nous leur proposons d’appeler le 115… Des hébergements hors de Paris sans qu’on leur dise où on les conduit… Des hébergements où souvent rien n’est prévu pour les accompagner dans l’accès au droit, dans leurs démarches… Des hébergements très éloignés de Paris, sans qu’on les munisse de titre de transport pour y effectuer les démarches obligatoires. Des hébergements avec, dans le meilleur des cas, un ticket restaurant de 5 € pour manger toutes les 24h. Des hébergements que beaucoup délaissent, revenant sur le trottoir en espérant qu’on leur propose mieux la prochaine fois.
Mais cela n’a visiblement toujours pas convaincu ceux qui ne souhaitent pas l’être que demander une évacuation en priant l’État de remplir des obligations qu’il ne veut pas tenir de ne suffit pas…
On prend les mêmes et on recommence !
Pendant que les migrants attendent que soient étudiés leurs demandes d’asile, pendant qu’ils attendent de l’aide pour comprendre leurs droits, se faire soigner, apprendre la langue… un gaspillage alimentaire sans nom a lieu dans bien des équipements publics.
Un soutien vient de lancer une pétition adressée à Martin Hirsch, directeur Général de l’AP-HP, pour permettre la récupération des denrées gaspillées dans les hôpitaux de Paris. Merci à vous d’en prendre connaissance, de la signer et de la partager.
Vous pouvez également soutenir les actions d’Entraides-Citoyennes :
– Si vous pouvez participer en faisant des dons alimentaires, n’hésitez pas à nous contacter : 06 02 67 34 78 ou 06 02 62 40 39
– Si vous pouvez participer à l’achat d’eau, voici comment vous y prendre
Marina Potemkim
présidente d’Entraides-Citoyennes
Bonjour à tous,
Depuis quelques mois Entraides Citoyennes s’est engagé dans l’accompagnement de jeunes mineurs isolés afin de les soutenir dans leurs démarches. La situation actuelle pour la majorité de ces jeunes est déplorable et très inquiétante. Cette pétition est destinée à Dominique Versini, adjointe à la Mairie de Paris chargée de toutes les questions relatives à la solidarité, aux familles, à la petite enfance, à la protection de l’enfance, à la lutte contre l’exclusion, aux personnes âgées.
Elle poursuit l’objectif de faire réagir la mairie de Paris et de permettre une réelle prise en charge de tous ces jeunes laissés à la rue, n’hésitez pas à la signer !
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Aidez-nous à distribuer de l’eau tout l’été ! Si beaucoup de sans-abris peuvent aller jusqu’aux fontaines parisiennes, certains ne peuvent se déplacer fréquemment en raison de blessures, de handicap ou de la présence à leurs côtés d’enfants, dont des bébés ! Les accès aux douches ne sont pas quotidiens et sont de toute manière très courts : et parfois le personnel des bains douche est appelé à fermer pour remplacer le personnel des sports en grève depuis longtemps… L’ombre n’est pas partout non plus à contrario de la pollution atmosphérique.
Or, la déshydratation est l’une des raisons pour lesquelles il y a plus de décès de sans-abris l’été que l’hiver.
via Leetchi (lien ci-dessus)
par chèque libellé à l’ordre d’Entraides-Citoyennes
(à notre adresse de gestion/correspondance Entraides-Citoyennes c/o Marina Balabaskaran, 6 avenue jean moulin, 93100 Montreuil)
ou par Paypal
Blandine Richard est une jeune étudiante de 22 ans qui, voulant comme beaucoup donner un coup de main aux migrants, en a eu marre de chercher les infos qui leurs manquent aux 4 coins du web. Alors, elle s’est collée à la réalisation d’une application drôlement pratique que tout ceux qui veulent aider doivent enregistrer dans leur portable : Welcome Map.
Dimanche dernier, le rendez-vous Food Street Popote est revenu à la Halle Pajol. A quelques dizaines de mètres, sous les tentes ou pour certains sans rien pour se couvrir, le désespoir et la faim au ventre, 200 migrants. Uniquement soutenus par des citoyens et des associations non subventionnées dont Entraides-Citoyennes. Deux mondes diamétralement opposés ont cohabité.
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Vous souvenez vous de cette famille belge présentée il y a deux ans et demi sur notre site ? Parents de trois enfants, ils sont arrivés en France pour y créer leur entreprise armés de toutes leurs économies et de beaucoup de courage. Mais ils se sont fait rouler dans la farine par celui qui leur a vendu maison et terrain au point d’être dans l’incapacité totale de mener à bien leur projet… Ils ont été dans l’obligation de se lancer dans un long procès, la maison étant leur seul capital. Derniers sous dépensés… Retour au plat pays impossible… Rester en France était très difficile. Mais ils y sont parvenus grâce un coup de pouce franco-belge.
Pour notre association, qui prône humblement l’égalité entre humains en allant au devant des exclus, aller à leur rencontre doit se faire d’égal à égal, de citoyen à citoyen. Quand on est à la rue, on se sent souvent très seul, transparent… Pour une personne sans-abri, ne recevoir de visites, de sourires et d’échanges que de la part « d’humanitaires » qui s’affichent comme tels peut-être décevant. Quand la tenue de ces derniers est trop voyante, cela peut même devenir discriminant. Se retrouver entouré de personnes vêtues d’un uniforme très coloré, c’est devenir visible, certes, mais uniquement comme celui qui est dans le besoin, celui qui reçoit… La situation est loin de souligner à quel point nous recevons nous aussi, puisqu’il s’agit d’un échange.
Sylvie, Fondatrice d’Entraides-Citoyennes
Aujourd’hui 6 juin 2016, Entraides-Citoyennes fête le 3e anniversaire de sa déclaration en association loi 1901.
Mais la naissance de notre association remonte en réalité à courant 2011, lors de la rencontre sur Facebook d’internautes impliqués – collectivement ou individuellement – dans l’aide aux plus démunis autour de l’envie d’échanger sur leurs pratiques et leurs expériences. En janvier 2012, marqué par la souffrance croissante des sans-abris, des sdf et des exclus le groupe se constitue en un collectif qu’il baptise « Entraides-Citoyennes » et dont j’ai initié la première maraude début 2013.
06:10 – Début d’évacuation du campement des jardins d’Éole, rue d’Aubervilliers à Paris en cours pour jusqu’à 1200, voire 1500 personnes. Mise à l’abri ? Évacuation ? Des infos ont été diffusées ce week-end annonçant l’ouverture de gymnases ici et là… Mais la préfecture a aussi annoncé l’évacuation. Alors, qui croire ? A suivre…
Lettre ouverte de salarié(e)s de la plateforme d’accueil des demandeurs d’asile (PADA) du 127 boulevard de la Villette, Paris, gérée par France terre d’asile, transmise à leur hiérarchie le 13 mai 2016. Les délais légaux d’enregistrement ne sont pas respectés, créant des tensions, de la précarité, plaçant les migrants dans l’illégalité et détériorant les conditions de travail du personnel.
Nous, salariés de la Plateforme d’accueil des demandeurs d’asile (PADA) située au 127 boulevard de la Villette à Paris, estimons qu’il est de notre devoir d’interpeller notre direction sur la dégradation alarmante des conditions d’accueil des demandeurs d’asile ainsi que des conditions de travail.
Trop de couacs pour que les soutiens croient les promesse d’Anne Hidalgo, maire de Paris… Cette dernière, qui a annoncé hier sa volonté d’ouvrir un centre d’accueil dédié aux migrants, ne remporte pas la confiance des soutiens…
D’abord, un lieu laissé sans aucune hygiène et où l’on vient de tenter de leur couper la source d’eau potable. Puis, des toilettes chimiques très très rarement vidées. Et puis des arrestations ! Et un manque de nourriture, d’accompagnement, d’information, de soins médicaux.
Il y a un an de cela, le préfet de police Bernard Boucaud évoquait « un risque d’épidémie » pour justifier l’évacuation rapide des migrants du Pont de la Chapelle le mercredi 27 mai 2015… Aujourd’hui, nous avons la triste confirmation de ce que nous avancions alors : c’est l’inertie des pouvoirs publics qui créée les épidémies !
Alors, Mme Hidalgo : voici venu le temps des actes ! N’attendez pas un mois et demi pour mettre ces humains à l’abri. Comptez sur les soutiens pour vous encourager, mais de grâce cessez de compter sur leur crédulité confiance aveugle. Agissez !
La LDH vous invite à un rassemblement devant le rectorat de Paris le 1er juin 2016 en soutien aux mineurs et jeunes majeurs isolés.
Une société évoluée se mesure au degré d’intégration de l’ensemble de ses citoyens.
Comment imaginer l’intégration sans l’école publique ? Or il a été décidé d’exclure du droit à l’éducation les jeunes nouvellement arrivés en France, mineurs ou jeunes majeurs, venus seuls sans leur famille.
Rendez-vous de 14h à 17h devant le Rectorat de Paris (12 bd d’Indochine,
Depuis début 2012, nous avons soutenu un homme hors du commun. Giuseppe Belvedere. Pour en savoir plus sur son histoire, qui ne s’achèvera malheureusement sans doute qu’avec sa mort, saisissez son nom dans le moteur de recherche de notre blog. Ou achetez le livre signé Marie-Simone Poublon qui s’engage à faire un don à Giuseppe.
Anne Hidalgo vient de promettre non pas « LA » solution, mais « UNE » solution pour les migrants. Il aura fallu un an, quasi jour pour jour, après l’expulsion du « campement » de la Chapelle pour qu’unE politique ait le courage de mettre en œuvre un projet d’accueil de jour avec de l’information et un hébergement de nuit, en conformité avec les normes européennes et de l’ONU… Une demande qu’Entraides-Citoyennes avait formulée le 12 mai 2015 en demandant l’ouverture d’un lieu permettant aux migrants de recevoir dans des conditions sereines des distributions alimentaires, un soutien médical et une aide au choix éclairé de leur avenir…
Migrants au Jardin d’Éole : colère et solidarité citoyennes grâce auxquelles depuis des mois nous pouvons maintenir notre aide. Car les mois se suivent et se ressemblent pour les sans-abris et pour les migrants… Pour ces derniers, l’accueil de la France ne repose que sur les volontés citoyennes et d’une poignée d’associations qui peinent à soutenir, abriter, nourrir, vêtir… La situation des personnes à la rue bénéficie de moins de lois destinées à les protéger que les animaux errants !
Chaque semaine, en plus de notre maraude auprès des sans-abris et des sdf dans les rues de Paris, nous participons nous aussi à cette aide qui devient vraiment difficile quand les campements grossissent comme c’est le cas cette semaine. Nous avons vraiment besoin d’aide en matière de dons matériels et d’argent pour continuer.
Pour fournir des fruits à 600 à personnes, cela coûte environ 80 € par semaine. Et puis avec la pluie, les demandes de chaussettes augmentent. 400 paires ne chaussettes nous coûtent environ 112 €. Sans votre aide, on n’y arrivera pas !
Merci de soutenir notre action !
Mardi 17 mai, le maire du 10e arrondissement, Rémi Féraud, publiait ceci sur sa page Facebook.
« Le campement du quai de Jemmapes est installé depuis une semaine et grossit chaque jour. L’hébergement des migrants qui y sont présents ne doit pas tarder, mais cette situation montre surtout que l’État doit changer son système de prise en charge des réfugiés arrivant dans notre pays. C’est ce que nous avons demandé avec Anne Hidalgo après la dernière opération de mise à l’abri réalisée à Stalingrad. »
Nous espérons que rares seront ceux qui prennent ce vœu pour autre chose que ce qu’il est réellement : une mascarade !
Le conseil régional a saisi le tribunal administratif de Paris qui a « examiné » le vendredi 29 mars la demande d’évacuation immédiate du lycée Jean Jaurès du 19e arrondissement occupé par des migrants et ordonné – sans surprise – l’expulsion « sans délai » des migrants du lycée.
Les migrants ont accroché des banderoles sur les façades de l’établissement pour demander des papiers. « Le but [de l’occupation] est de mettre Anne Hidalgo [la maire de Paris] face à ses déclarations, quand elle dit qu’Angela Merkel a sauvé l’honneur de l’Europe en accueillant des réfugiés. Si elle a honte, qu’elle ouvre des gymnases, des endroits pour les accueillir dans des conditions dignes. Cette action est un levier pour entamer une négociation », a expliqué Valérie Osouf du collectif La Chapelle debout.
Romain du collectif United migrants expliquait dans les colonnes des Inrocks, dimanche, que les migrants s’étaient réunis entre eux « épaulés par le collectif Chapelle debout », pour clarifier leur demande : un toit, et accélérer les demandes d’asile. « Ils veulent que ce soit un lieu de lutte mais pas un lieu suroccupé. » Les associatifs tiennent à expliquer que le lieu est vaste et que l’idée n’est pas de le remplir, pour éviter les débordements.
Hélène Seingier, bénévole d’Entraides-Citoyennes dans le cadre de nos cours de FLE (Français langue étrangère) est particulièrement sensible à la cause des réfugiés. Elle vient de publier son dernier article sur Say Yess où vous pourrez en lire bien d’autres… Elle raconte le bénévolat à Grande Synthe : il est question des jeunes de toute l’Europe qui viennent aider bénévolement dans le camp de réfugiés et auxquels Hélène donne un petit coup de projecteur.
Suite à l’exposition « Welcome to the jungle », Léo Chauvin a réalisé un film sur Salomon Baldé , jeune brodeur réfugié à Lille.
En voici la bande annonce : « Le Chemin d’accroche » [ sortie le 24.04 ]
[Voir aussi la page Art in the Jungle ]
Expo du mars au 3 avril 2016 au 39/93 à Romainville.
A suivre, ils reviendront !
Le collectif La Chapelle Debout a ouvert un nouveau squat pour les migrants. Pour mettre des migrants à l’abri en lieu et place de ceux qui ne le font pas. Qu’on se sente proche ou non de la totalité des actions ou des revendications de ce collectif n’est pas à l’ordre du jour. Quand jour après jour ceux qui ont survécu aux traversées périlleuses des frontières pour quitter des souffrances physiques, morales ou économiques pour arriver jusqu’à nous plein d’espoir pour n’y trouver qu’un morceau de bitume et la solidarité citoyenne en lieu et place d’une véritable terre d’asile n’est pas acceptable !